Le gouvernement fédéral considère toujours que c’est un crime de cultiver ou de posséder du cannabis, mais 30 États l’ont aujourd’hui légalisé à des degrés divers. Washington, Oregon, Californie, Alaska, Nevada, Colorado, Maine et Massachusetts ont dépénalisé les mauvaises herbes à des fins récréatives, et une législation similaire est à l’étude ailleurs. Pardonnez le jeu de mots, mais il est grand temps de parler de la façon de cultiver les choses.
La méthode à l’ancienne — à l’extérieur — est la plus simple. La tendance à la culture en intérieur est plutôt le résultat, d’un désir de cacher ce que vous faites (plus nécessaire dans de nombreux endroits), et deuxièmement, d’exercer un contrôle total sur les conditions de croissance afin de produire d’énormes bourgeons ayant une valeur marchande maximale. Mais si votre seul objectif est d’avoir un peu de mauvaises herbes pour en profiter occasionnellement, vous pouvez aussi la planter à côté de vos courgettes et basilic.
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Cultiver une culture de cannabis réussie est un peu plus compliquée que votre légume moyen, mais pas beaucoup. Avant d’arriver à emporter, familiarisez-vous avec vos lois locales — NORML fournit ici une liste complète. Sur le plan horticole, voici ce que vous devez savoir.
Plan de l'article
Les variétés
De nombreuses entreprises de vente par correspondance ont été créées pour répondre à la demande de matériel végétal légal. Il existe des milliers de variétés, avec toutes les descriptions trippy auxquelles vous vous attendez. Si vous voulez une saveur cérébrale élevée et non scintillante d’agrumes, il existe une race pour cela ; si vous voulez quelque chose qui soit bon pour l’anxiété, faible en THC et qui mesure moins de 3 pieds de haut, vous pouvez également le trouver.
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Plus important encore, achetez des semences pour des variétés adaptées aux conditions extérieures, plutôt que celles produites pour les opérations de culture en intérieur. Tout fournisseur réputé indiquera ces informations dans ses listes de variétés. La plupart noteront également les variétés résistantes aux moisissures, qui constituent un choix judicieux dans les régions humides, ainsi que celles avec une « période de floraison courte », une considération importante sous les latitudes septentrionales (cela s’apparente aux « jours à maturité » inscrite sur les paquets de semences végétales).
Notez que le CBD de qualité comme celui d’une société CBDax est aujourd’hui autorisé dans de nombreux pays.
Comprendre les plantes mâles et femelles
Le cannabis est l’une des nombreuses espèces du royaume végétal qui produisent des fleurs mâles et femelles sur des plantes séparées. Les femelles produisent des « bourgeons » de fleurs grasses riches en composés psychoactifs, tandis que les plantes mâles produisent de petites fleurs qui ne valent pas la peine d’être fumées (ou quelle que soit la façon dont vous choisissez d’y participer).
Lorsque vous plantez des graines de cannabis, vous finissez généralement avec environ la moitié des plantes mâles et la moitié des plantes femelles. Il est impératif de se débarrasser des mâles avant que les plantes commencent à fleurir, car le pollen mâle entraînera des bourgeons femelles pleins de graines, ce qui n’est pas bon. Il n’est pas si difficile de déterminer le sexe des plants de cannabis — vous pouvez trouver des instructions ici — et d’abacter les mâles.
Mais ça peut être encore plus facile ! Comment ? Recherchez des variétés étiquetées « féminisées ». Ce sont des graines qui ont été élevées pour produire uniquement des plantes femelles et sont fortement recommandées pour le cannabis débutant. jardiniers.
Une autre option consiste à acheter des « clones », qui sont des boutures enracinées de plantes femelles. C’est essentiellement comme acheter des plants de légumes plutôt que des graines, ce qui vous permet d’économiser le temps et les efforts nécessaires à la germination, ainsi que la difficulté de désherber les mâles.
Graines de départ
Les graines de mauvaises herbes ne nécessitent aucun traitement spécial, mais elles germent plus rapidement si vous les faites tremper dans l’eau quelques jours avant de les planter. Comme pour les tomates et autres légumes qui aiment la chaleur, il est préférable de commencer la graine à l’intérieur par une fenêtre ensoleillée au début du printemps, puis de replanter les semis à l’extérieur une fois que tout danger de gel est passé.
Conditions de croissance
Pour bien faire, les plants de cannabis nécessitent un minimum de six heures de soleil direct par jour et un excellent drainage. Ils se débrouilleront bien dans un lit surélevé typique comme vous l’utiliseriez pour les légumes, bien que les pots de cinq gallons remplis de terreau fonctionnent également bien pour le pot (difficile de résister au jeu de mots piquant !). Bien la circulation de l’air est essentielle pour prévenir les maladies fongiques, donc espacez les plantes à au moins six pieds (plus près est acceptable pour les variétés naines) pour s’assurer qu’elles ne ressemblent pas à une haie dense d’ici la fin de l’été.
Les plantes de cannabis adorent leurs nutriments, alors prévoient d’enrichir les lits de fumier composté, idéalement au moins un mois avant la plantation, sinon l’automne précédent. Étalez un minimum de 2 pouces de compost sur la zone de plantation et travaillez-le dans le sol. Si vous plantez dans des pots, vous pouvez compter sur des engrais plutôt que du compost.
Alimentation et arrosage
Cette culture a également soif, alors assurez-vous d’irriguer chaque fois que la surface du sol devient sèche. L’ajout d’une couche de paillis une fois les plantes à hauteur des genoux réduira la perte d’humidité du sol par évaporation et aidera à empêcher d’autres « mauvaises herbes » de s’établir dans votre plantation de mauvaises herbes.
Si vos lits sont suffisamment riches, il n’est pas nécessaire d’engrais, mais cela donnera de meilleurs résultats (c’est un must pour les plantes en pot). Appliquez un engrais riche en azote toutes les trois semaines jusqu’au milieu de l’été, car cela stimulera une croissance végétative abondante. Passez ensuite à une teneur plus élevée en phosphore pour stimuler les fleurs denses et abondantes (bourgeons).
Taille
Selon la variété, les plantes extérieures peuvent atteindre une hauteur de 12 pieds ou plus. La plupart des cultivateurs les taillent, ce qui facilite la gestion des plantes et entraîne beaucoup plus de bourgeons. Les producteurs professionnels ont perfectionné la taille des beaux-arts dans le but de maximiser le rendement, mais pour le cultivateur occasionnel, il suffit de réduire les pousses les plus vigoureuses de temps à autre. Il suffit de clipser 30 % de chaque séance majeure toutes les quelques semaines.
La taille favorise une forme bushière (plutôt qu’une plante grande et épineuse) en stimulant la croissance de nombreuses petites pousses latérales, chacune produisant des bourgeons supplémentaires. Assurez-vous simplement d’arrêter la taille avant le milieu de l’été, afin de ne pas interférer avec la production de fleurs.
Récolte
Les bourgeons vont commence à se former à la fin de l’été et devrait être prêt pour la récolte au mois d’octobre. Vous saurez qu’ils sont prêts lorsque les pistils de fleurs — ces poils vifs qui émanent des bourgeons — passent du blanc au brun rougeâtre.
Coupez les bourgeons des plantes en laissant 6 ou 8 pouces de tige sous chacun d’eux et coupez toutes les feuilles. Suspendez-les à leurs tiges pour les sécher dans un endroit chaud et ombragé pendant environ une semaine. La mauvaise herbe est maintenant prête à l’emploi. Coupez les bourgeons de la tige et rangez-les dans un pot en verre.
